Ma banque

Choisissez une banque engagée pour le climat en 3 étapes

Banques traditionnelles, banques en ligne, néo-banques…

Difficile de s’y retrouver pour choisir la bonne ! Certaines banques se présentent même comme « vertes », « responsables », « éthiques » ou « écologiques », mais qu’en est-il vraiment ?

Si aucune banque n’est parfaite, certaines sont directement responsables de l’aggravation du dérèglement climatique.

Découvrez l’impact de la vôtre, et comment changer de banque pour confier votre argent à une banque qui agit pour le climat.

étape 1

Découvrir les pratiques
de ma banque




BNP Paribas aggrave le chaos climatique !

Avec 87 milliards de dollars alloués à l'expansion fossile depuis l'Accord de Paris en 2016, BNP Paribas est la 4e banque européenne la plus active dans le financement des entreprises qui développent des nouveaux projets d’énergie fossile.

Si BNP Paribas refuse de financer directement certains nouveaux projets de charbon, pétrole et gaz, elle continue de soutenir les entreprises qui les développent. Elle soutient encore directement le développement de terminaux méthaniers.

Ainsi, alors qu'elle s'est engagée en 2021 à atteindre la neutralité carbone d‘ici 2050, elle continue depuis à soutenir des entreprises comme Saudi Aramco, Shell, BP mais aussi TotalEnergies, dont la BNP Paribas est le premier soutien financier. Pourtant, la TotalEnergies est une des entreprises à prévoir le plus de nouvelles “bombes climatiques”.

Pour ses produits d'épargne, la banque s'appuie sur l’investisseur du groupe, BNP Paribas Asset Management, qui continue à investir dans des entreprises qui développent de nouveaux projets fossiles.

BNP Paribas aggrave donc le chaos climatique par ses pratiques.

BNP

Hello Bank aggrave le chaos climatique !

Hello Bank est l’offre digitale de la BNP Paribas.

La banque en ligne a donc le même impact climatique que la grande banque française.

Avec 87 milliards de dollars alloués à l'expansion fossile depuis l'Accord de Paris en 2016, BNP Paribas est la 4e banque européenne la plus active dans le financement des entreprises qui développent des nouveaux projets d’énergie fossile.

Si BNP Paribas refuse de financer directement certains nouveaux projets de charbon, pétrole et gaz, elle continue de soutenir les entreprises qui les développent. Elle soutient encore directement le développement de terminaux méthaniers.

Ainsi, alors qu'elle s'est engagée en 2021 à atteindre la neutralité carbone d‘ici 2050, elle continue depuis à soutenir des entreprises comme Saudi Aramco, Shell, BP mais aussi TotalEnergies, dont la BNP Paribas est le premier soutien financier. Pourtant, TotalEnergies est une des entreprises à prévoir le plus de nouvelles “bombes climatiques”.

Pour ses produits d'épargne, la banque s'appuie sur l’investisseur du groupe, BNP Paribas Asset Management, qui continue à investir dans des entreprises qui développent de nouveaux projets fossiles.

BNP Paribas aggrave donc le chaos climatique par ses pratiques.

HelloBank

La Société Générale aggrave le chaos climatique !

Avec presque 57,5 milliards de dollars alloués à l'expansion fossile depuis l'Accord de Paris en 2016, la Société Générale est la 7e banque européenne la plus active dans le financement des entreprises qui développent des nouveaux projets d’énergie fossile.

Si la Société Générale refuse de financer directement certains nouveaux projets de charbon, pétrole et gaz, elle continue de soutenir les entreprises qui les développent. Elle soutient encore directement le développement de certains terminaux méthaniers.

Ainsi, alors qu'elle s'est engagée en 2021 à atteindre la neutralité carbone d‘ici 2050, elle continue depuis à soutenir des entreprises comme Eni, EXXON, Chevron mais aussi TotalEnergies. Pourtant, TotalEnergies est une des entreprises à prévoir le plus de nouvelles “bombes climatiques”, notamment au Mozambique où Société Générale a aidé TotalEnergies à collecter les financements pour le projet Mozambique LNG, dont les impacts climatiques et humains sont catastrophiques. Elle est par ailleurs la seule banque française à avoir participé à la levée de 3 milliards de dollars par TotalEnergies sur le marché obligataire en septembre 2024.

Société Générale aggrave donc le chaos climatique par ses pratiques.

Soge

BoursoBank aggrave le chaos climatique !

BoursoBank est une filiale de la Société Générale.

La banque, qui dispose de son propre agrément bancaire, ne finance pas directement des projets ou des entreprises, et ne propose que des financements aux particuliers. BoursoBank ne finance donc pas directement l’expansion des énergies fossiles grâce à l’argent déposé par ses clients sur leurs comptes courants.

En revanche, BoursoBank est une filiale à 100% de la Société Générale qui est par conséquent le décisionnaire final de l’utilisation de ses fonds.

Or, avec presque 57,5 milliards de dollars alloués à l'expansion fossile depuis l'Accord de Paris en 2016, la Société Générale est la 7e banque européenne la plus active dans le financement des entreprises qui développent des nouveaux projets d’énergie fossile.

Si la Société Générale refuse de financer directement certains nouveaux projets de charbon, pétrole et gaz, elle continue de soutenir les entreprises qui les développent. Elle soutient encore directement le développement de certains terminaux méthaniers.

Ainsi, alors qu'elle s'est engagée en 2021 à atteindre la neutralité carbone d‘ici 2050, elle continue depuis à soutenir des entreprises comme Eni, EXXON, Chevron mais aussi TotalEnergies, dont la Société Générale est le premier soutien financier. Pourtant, la TotalEnergies est une des entreprises à prévoir le plus de nouvelles “bombes climatiques”, dont le projet Mozambique LNG dont les impacts climatiques et humains sont catastrophiques. Elle est d'ailleurs la seule banque française à avoir participé à la levée de 3 milliards de dollars par TotalEnergies sur le marché obligataire en septembre 2024.

Société Générale aggrave donc le chaos climatique par ses pratiques.

Bourso

Crédit Agricole aggrave le chaos climatique !

Avec plus de 53 milliards de dollars alloués à l'expansion fossile depuis l'Accord de Paris en 2016, Crédit Agricole est la 6e banque européenne la plus active dans le financement des entreprises qui développent des nouveaux projets d’énergie fossile.

Si Crédit Agricole refuse de financer directement certains nouveaux projets de charbon, pétrole et gaz, elle continue de soutenir les entreprises qui les développent. Elle soutient encore directement le développement de terminaux méthaniers.

Ainsi, alors qu'elle s'est engagée en 2021 à atteindre la neutralité carbone d‘ici 2050, elle continue depuis à soutenir des entreprises comme Eni, Saudi Aramco, BP mais aussi TotalEnergies, dont le Crédit Agricole est le deuxième banquier. Pourtant, TotalEnergies est une des entreprises à prévoir le plus de nouvelles “bombes climatiques”. Parmi ces projets se trouve le projet gazier Papua LNG en Papouasie Nouvelle Guinée, pays déjà en première ligne face au réchauffement climatique. Crédit Agricole est le conseiller financier de TotalEnergies pour ce projet, c'est à dire que la banque aide l'entreprise à obtenir les financements nécessaires au projet.

Pour ses produits d'épargne, le groupe Crédit Agricole s'appuie sur sa filiale d'investissement, Amundi, qui continue à investir dans des entreprises qui développent de nouveaux projets fossiles.

Le Crédit Agricole aggrave donc le chaos climatique par ses pratiques.

CA

B For Bank aggrave le chaos climatique !

B for Bank est une filiale du Crédit Agricole.

La banque ne finance pas directement des projets ou des entreprises, et ne propose que des financements aux particuliers. B for Bank ne finance donc pas directement les énergies fossiles.

En revanche, B for Bank est une filiale du groupe Crédit Agricole qui est par conséquent le décisionnaire final de l’utilisation de ses fonds.

Or, avec plus de 53 milliards de dollars alloués à l'expansion fossile depuis l'Accord de Paris en 2016, Crédit Agricole est la 6e banque européenne la plus active dans le financement des entreprises qui développent des nouveaux projets d’énergie fossile.

Si Crédit Agricole refuse de financer directement certains nouveaux projets de charbon, pétrole et gaz, elle continue de soutenir les entreprises qui les développent. Elle soutient encore directement le développement de terminaux méthaniers.

Ainsi, alors qu'elle s'est engagée en 2021 à atteindre la neutralité carbone d‘ici 2050, elle continue depuis à soutenir des entreprises comme Eni, Saudi Aramco, BP mais aussi TotalEnergies, dont le Crédit Agricole est le deuxième banquier. Pourtant, TotalEnergies est une des entreprises à prévoir le plus de nouvelles “bombes climatiques”. Parmi ces projets se trouve le projet gazier Papua LNG en Papouasie Nouvelle Guinée, pays déjà en première ligne face au réchauffement climatique. Crédit Agricole est le conseiller financier de TotalEnergies pour ce projet, c'est à dire que la banque aide l'entreprise à obtenir les financements nécessaires au projet.

Pour ses produits d'épargne, le groupe Crédit Agricole s'appuie sur sa filiale d'investissement, Amundi, qui continue à investir dans des entreprises qui développent de nouveaux projets fossiles.

B For Bank aggrave donc le chaos climatique par ses pratiques.

B4BANK

LCL aggrave le chaos climatique !

LCL est une filiale du Crédit Agricole.

Elle dispose de son propre agrément bancaire et finance directement des projets et des entreprises - essentiellement de petite et de moyenne taille. Sa politique en matière de pétrole et de gaz est équivalente à celle du groupe Crédit Agricole.

Avec plus de 53 milliards de dollars alloués à l'expansion fossile depuis l'Accord de Paris en 2016, Crédit Agricole est la 6e banque européenne la plus active dans le financement des entreprises qui développent des nouveaux projets d’énergie fossile.

Si Crédit Agricole refuse de financer directement certains nouveaux projets de charbon, pétrole et gaz, elle continue de soutenir les entreprises qui les développent. Elle soutient encore directement le développement de terminaux méthaniers.

Ainsi, alors qu'elle s'est engagée en 2021 à atteindre la neutralité carbone d‘ici 2050, elle continue depuis à soutenir des entreprises comme Eni, Saudi Aramco, BP mais aussi TotalEnergies, dont le Crédit Agricole est le deuxième banquier. Pourtant, TotalEnergies est une des entreprises à prévoir le plus de nouvelles “bombes climatiques”. Parmi ces projets se trouve le projet gazier Papua LNG en Papouasie Nouvelle Guinée, pays déjà en première ligne face au réchauffement climatique. Crédit Agricole est le conseiller financier de TotalEnergies pour ce projet, c'est à dire que la banque aide l'entreprise à obtenir les financements nécessaires au projet.

Pour ses produits d'épargne, le groupe Crédit Agricole s'appuie sur sa filiale d'investissement, Amundi, qui continue à investir dans des entreprises qui développent de nouveaux projets fossiles.

LCL aggrave donc le chaos climatique par ses pratiques.

LCL

BPCE aggrave le chaos climatique !

Avec 25,5 milliards de dollars alloués à l'expansion fossile depuis l'Accord de Paris en 2016, Natixis, la banque d'affaire du groupe Banque Populaire & Caisse d'Epargne, est la 4e banque française la plus active dans le financement des entreprises qui développent des nouveaux projets d’énergie fossile.

Si Natixis refuse de financer directement certains nouveaux projets de charbon et pétrole, elle continue de soutenir les entreprises qui les développent. Elle soutient encore directement le développement de projets gaziers.

Ainsi, alors qu'elle s'est engagée en 2021 à atteindre la neutralité carbone d‘ici 2050, elle continue depuis à soutenir des entreprises comme TotalEnergies, impliquée dans de nombreuses “bombes climatiques”. Elle est d'ailleurs la seule banque française à avoir participé à la levée de 4,25 milliards de dollars par TotalEnergies sur le marché obligataire en avril 2024.

Pour ses produits d'épargne, le groupe BPCE s'appuie sur l'investisseur du groupe, Natixis Investment Manager, qui continue à investir dans des entreprises qui développent de nouveaux projets fossiles.

Le groupe BPCE aggrave donc le chaos climatique par ses pratiques.

BPCE

Crédit Mutuel n'en fait pas assez pour le climat.

Avec un peu plus d'1 milliards de dollars alloués à l'expansion fossile depuis l'Accord de Paris en 2016, le Crédit Mutuel est moins actif que ses pairs dans ce secteur.

La banque s’est engagée à atteindre la neutralité carbone d’ici 2050 suivant une trajectoire limitant le réchauffement à 1.5°C. Dans ce cadre, elle s’engage à ne plus financer directement les nouveaux projets de production et de transport de pétrole et de gaz.

Néanmois, elle se laisse la possibilité de continuer à financer les entreprises qui développent des nouveaux projets pétroliers et gaziers, comme TotalEnergies, qui est pourtant une des entreprises à prévoir le plus de nouvelles “bombes climatiques”.

Pour ses produits d'épargne, le groupe Crédit Mutuel s'appuie sur sa filiale d'investissement, Crédit Mutuel Asset Management, qui continue à investir dans des entreprises qui développent de nouveaux projets fossiles.

Crédit Mutuel n'en fait donc pas assez pour le climat, et doit se renforcer.

CMUT

CIC n'en fait pas assez pour le climat.

Avec un peu plus d'1 milliards de dollars alloués à l'expansion fossile depuis l'Accord de Paris en 2016, le Crédit Mutuel est moins actif que ses pairs dans ce secteur.

La banque s’est engagée à atteindre la neutralité carbone d’ici 2050 suivant une trajectoire limitant le réchauffement à 1.5°C. Dans ce cadre, elle s’engage à ne plus financer directement les nouveaux projets de production et de transport de pétrole et de gaz.

Néanmois, elle se laisse la possibilité de continuer à financer les entreprises qui développent des nouveaux projets pétroliers et gaziers, comme TotalEnergies, qui est pourtant une des entreprises à prévoir le plus de nouvelles “bombes climatiques”.

Pour ses produits d'épargne, le groupe Crédit Mutuel s'appuie sur sa filiale d'investissement, Crédit Mutuel Asset Management, qui continue à investir dans des entreprises qui développent de nouveaux projets fossiles.

Crédit Mutuel n'en fait donc pas assez pour le climat, et doit se renforcer.

CIC

Mona Banq n'en fait pas assez pour le climat.

Mona Banq est une banque membre de l’alliance Crédit Mutuel.  

La banque, qui dispose de son propre agrément bancaire, ne finance pas directement des projets ou des entreprises, et ne propose que des financements aux particuliers. Mona Banq ne finance donc pas directement les énergies fossiles grâce à l’argent déposé par ses clients sur leurs comptes courants. 

Mona Banq est membre de l’alliance Crédit Mutuel, qui doit encore s’engager à ne plus accorder de financement à des entreprises qui développent de nouveaux projets de pétrole et de gaz (voir Crédit Mutuel).

MonaBanq

Sumeria n'en fait pas assez pour le climat.

Sumeria (anciennement Lydia) est qualifiée de “néobanque” - elle n’est pas encore une banque au sens règlementaire du terme – et place les dépôts de ses clients auprès de la banque française BNP Paribas.

Ces dépôts, dits “cantonnés” sont déposés sur un compte auprès de la BNP Paribas. Ils ne sont donc pas directement alloués aux énergies fossiles, mais ils permettent cependant à BNP Paribas d’augmenter sa capacité de financement, et donc d’octroyer plus de crédits.

Or, plus de 87 milliards de dollars alloués à l'expansion des énergies fossiles depuis d'Accord de Paris en 2016, BNP Paribas est la 4e banque européenne la plus active dans le financement des entreprises qui développent des nouveaux projets d’énergie fossile.

Pour prétendre devenir une alternative sérieuse aux grandes banques traditionnelles, Sumeria doit impérativement trouver un partenaire alternatif à BNP Paribas.

sumeria

OnlyOne n'en fait pas assez pour le climat.

OnlyOne est qualifiée de “néobanque” - elle n’est pas encore une banque au sens règlementaire du terme - et s’appuie sur un partenaire, Treezor.

Treezor est ce que l’on appelle un établissement de monnaie électronique. Dans son accord avecOnlyOne, Treezor flèche dépose l’intégralité des fonds de ses clients dans un compte dit “de cantonnement” chez la Société Générale.

Concrètement, la banque ne peut pas directement investir ces fonds, mais ces derniers lui permettent d’augmenter sa capacité de financement, et donc d’octroyer plus de crédits.

Or, avec presque 57,5 milliards de dollars alloués à l'expansion fossile depuis l'Accord de Paris en 2016, la Société Générale est la 7e banque européenne la plus active dans le financement des entreprises qui développent des nouveaux projets d’énergie fossile.

Pour prétendre devenir une alternative sérieuse aux grandes banques traditionnelles OnlyOne doit impérativement s’adosser à un partenaire alternatif à la Société Générale.

Onlyone

Le Crédit Coopératif agit pour le climat !

Le Crédit Coopératif est une banque française coopérative. Avec des activités reposant avant tout sur la banque de détail, qui finance majoritairement les particuliers, les acteurs de l'Économie Sociale et Solidaire, les collectivités et les petites et moyennes entreprises plutôt que les multinationales. Le Crédit Coopératif est moins exposé que ses pairs aux énergies fossiles.

Pour aller plus loin, la banque a adopté une politique d’exclusion stricte des énergies fossiles (charbon, pétrole et gaz) de ses financements, ce qui la distingue nettement des principales banques françaises qui continuent à soutenir ce secteur.

Bien qu’appartenant au groupe BPCE, celui-ci n’intervient pas sur les politiques sectorielles d’exclusions de financement du Crédit Coopératif. Une exception est faite pour les produits d'assurance-vie mis à disposition par BPCE pour lesquels la politique de Crédit Coopératif ne s'applique pas.

Le Crédit Coopératif dispose également de sa propre filiale de gestion d’actifs Ecofi qui exclut de ses actifs tout soutien au charbon et aux entreprises actives dans les hydrocarbures non-conventionnels.

Vous êtes client.e chez Crédit Coopératif, demandez-lui de renforcer sa politique en l’appliquant à son assurance vie !

CredCoop

La Banque Postale agit pour le climat !

Avec des activités reposant avant tout sur la banque de détail, qui finance majoritairement les particuliers, collectivités et petites entreprises plutôt que les multinationales, La Banque Postale est moins exposée que ses pairs aux énergies fossiles.

La Banque Postale a apporté 724 millions de dollars à l'expansion fossile depuis l'Accord de Paris en 2016. Cedendant, elle a depuis pris en 2021 et 2022 de forts engagements climatiques pour soutenir une sortie du secteur d’ici 2030. La banque exclut donc de ses soutiens les entreprises développant des projets de pétrole et de gaz sur l’ensemble de la chaîne de valeurs.

Pour ses produits d'épargne, la Banque Postale s'appuie sur sa filiale d'investissement, La Banque Postale Asset Management qui continue à investir au cas par cas dans des entreprises développant de nouvelles capacités de pétrole et de gaz.

Vous êtes client.e de La Banque Postale, demandez-lui d’aligner la politique de son gestionnaire d’actif LBPAM sur celle de la banque !

BP

Ma French Bank agit pour le climat !

Ma French Bank est la banque 100% en ligne du groupe La Banque Postale.  

Avec des activités reposant avant tout sur la banque de détail, qui finance majoritairement les particuliers, collectivités et petites entreprises plutôt que les multinationales, La Banque Postale est moins exposée que ses pairs aux énergies fossiles.

Bien que La Banque Postale ait apporté un peu plus de 440 millions de dollars de financement aux énergies fossiles (charbon, pétrole et gaz) depuis l’Accord de Paris, elle a de plus pris en 2021 et 2022 de forts engagements climatiques pour soutenir une sortie du secteur d’ici 2030. La banque exclut dès maintenant de ses soutiens les entreprises développant des projets de pétrole et de gaz sur l’ensemble de la chaîne de valeurs.

En particulier pour ses produits d’épargne, la Banque Postale s’appuie sur sa filiale LBPAM. LBPAM a annoncé vouloir aligner en 2030 ses actifs avec l’objectif de neutralité carbone à horizon 2050 en mettant la fin de l’expansion pétro-gazière au centre de son dialogue avec les entreprises. Le gestionnaire d’actifs est cependant beaucoup moins ambitieux que la banque, en se laissant la possibilité d’investir au cas par cas dans des entreprises développant de nouvelles capacités de pétrole et de gaz.

Vous êtes client.e de La Banque Postale, demandez-lui d’aligner la politique de son gestionnaire d’actif LBPAM sur celle de la banque !

MFB

Helios agit pour le climat !

Helios est qualifiée de “néobanque” - elle n’est pas encore une banque au sens règlementaire du terme - et s’appuie sur un partenaire, Okali.

Okali est ce que l’on appelle un établissement de monnaie électronique. Dans son accord avec Helios, Okali flèche une partie des dépôts des clients (40%) vers des obligations vertes, sélectionnées par Helios, pour financer des projets qui contribuent à accélérer la transition énergétique. Okali dépose l’autre partie des fonds (60%) dans un compte dit “de cantonnement” chez Crédit Mutuel Arkéa. Concrètement, la banque ne peut pas directement investir ces fonds, mais ces derniers lui permettent d’augmenter sa capacité de financement, et donc d’octroyer plus de crédits.

Crédit Mutuel Arkea s’engage à ne pas financer les projets de production (exploration et extraction), de transport, de stockage ou de transformation d'énergies fossiles, les projets de centrales à charbon ainsi que les entreprises qui les développent.

Helios contribue donc à construire un modèle bancaire plus durable, en confiant une partie de ses fonds à une banque qui ne soutient pas l'expansion fossile, et en fléchant l'autre partie vers des produits qui accélèrent la transition.

helios

Green-Got agit pour le climat !

Green-Got est qualifiée de “néobanque” - elle n’est pas encore une banque au sens règlementaire du terme - et s’appuie sur un partenaire, PPS.

PPS est ce que l’on appelle un établissement de monnaie électronique. Dans son accord avec Green-Got, PPS dépose l’intégralité des fonds de ses clients dans un compte dit “de cantonnement” chez Crédit Mutuel Arkéa.

Concrètement, la banque ne peut pas directement investir ces fonds, mais ces derniers lui permettent d’augmenter sa capacité de financement, et donc d’octroyer plus de crédits.

Crédit Mutuel Arkea s’engage à ne pas financer les projets de production (exploration et extraction), de transport, de stockage ou de transformation d'énergies fossiles, les projets de centrales à charbon ainsi que les entreprises qui les développent.

En ayant fait le choix du Crédit Mutuel Arkéa, Green-Got s'assure donc de ne pas soutenir l'expansion fossile.

GG

Le groupe Crédit Mutuel Arkéa agit pour le climat !

Avec des activités reposant avant tout sur la banque de détail, qui finance majoritairement les particuliers, collectivités et petites entreprises plutôt que les multinationales, le Crédit Mutuel Arkéa est moins exposé que ses pairs aux énergies fossiles et a pris des engagements forts.

Malgré son affiliation à l'ensemble Crédit Mutuel, la banque applique ses propres choix en matière de financement et d’investissement. La Banque exclut de ses soutiens les projets de production (exploration et extraction), de transport, de stockage ou de transformation d'énergies fossiles, les projets de centrales à charbon ainsi que les entreprises qui les développent.

Par ailleurs, l’activité gestion d’actifs du Crédit Mutuel Arkéa suit des règles différentes, et exclut uniquement les entreprises très actives dans les pétrole et gaz non conventionnels.

Vous êtes client.e de Crédit Mutuel Arkéa, demandez-lui de compléter sa politique par une exclusion plus complète des développeurs (centrales à gaz), et d’aligner la politique de son gestionnaire d’actifs sur celle de la banque !

arkea

Fortunéo Banque agit pour le climat.

Fortuneo Banque est la marque commerciale d’Arkéa Direct Bank, entité du groupe Crédit Mutuel Arkéa.    

Avec des activités reposant avant tout sur la banque de détail, qui finance majoritairement les particuliers, collectivités et petites entreprises plutôt que les multinationales, le Crédit Mutuel Arkéa est moins exposé que ses pairs aux énergies fossiles et a pris des engagements forts.

Malgré son affiliation à l'ensemble Crédit Mutuel, la banque applique ses propres choix en matière de financement et d’investissement. La Banque exclut de ses soutiens les projets de production (exploration et extraction), de transport, de stockage ou de transformation d'énergies fossiles, les projets de centrales à charbon ainsi que les entreprises qui les développent.

Par ailleurs, l’activité gestion d’actifs du Crédit Mutuel Arkéa suit des règles différentes, et exclut uniquement les entreprises très actives dans les pétrole et gaz non conventionnels.

Vous êtes client.e de Crédit Mutuel Arkéa, demandez-lui de compléter sa politique par une exclusion plus complète des développeurs (centrales à gaz), et d’aligner la politique de son gestionnaire d’actifs sur celle de la banque !

fortuneo



BNP Paribas aggrave le chaos climatique !

Avec 87 milliards de dollars alloués à l'expansion fossile depuis l'Accord de Paris en 2016, BNP Paribas est la 4e banque européenne la plus active dans le financement des entreprises qui développent des nouveaux projets d’énergie fossile.

Si BNP Paribas refuse de financer directement certains nouveaux projets de charbon, pétrole et gaz, elle continue de soutenir les entreprises qui les développent. Elle soutient encore directement le développement de terminaux méthaniers.

Ainsi, alors qu'elle s'est engagée en 2021 à atteindre la neutralité carbone d‘ici 2050, elle continue depuis à soutenir des entreprises comme Saudi Aramco, Shell, BP mais aussi TotalEnergies, dont la BNP Paribas est le premier soutien financier. Pourtant, la TotalEnergies est une des entreprises à prévoir le plus de nouvelles “bombes climatiques”.

Pour ses produits d'épargne, la banque s'appuie sur l’investisseur du groupe, BNP Paribas Asset Management, qui continue à investir dans des entreprises qui développent de nouveaux projets fossiles.

BNP Paribas aggrave donc le chaos climatique par ses pratiques.

BNP

Hello Bank aggrave le chaos climatique !

Hello Bank est l’offre digitale de la BNP Paribas.

La banque en ligne a donc le même impact climatique que la grande banque française.

Avec 87 milliards de dollars alloués à l'expansion fossile depuis l'Accord de Paris en 2016, BNP Paribas est la 4e banque européenne la plus active dans le financement des entreprises qui développent des nouveaux projets d’énergie fossile.

Si BNP Paribas refuse de financer directement certains nouveaux projets de charbon, pétrole et gaz, elle continue de soutenir les entreprises qui les développent. Elle soutient encore directement le développement de terminaux méthaniers.

Ainsi, alors qu'elle s'est engagée en 2021 à atteindre la neutralité carbone d‘ici 2050, elle continue depuis à soutenir des entreprises comme Saudi Aramco, Shell, BP mais aussi TotalEnergies, dont la BNP Paribas est le premier soutien financier. Pourtant, TotalEnergies est une des entreprises à prévoir le plus de nouvelles “bombes climatiques”.

Pour ses produits d'épargne, la banque s'appuie sur l’investisseur du groupe, BNP Paribas Asset Management, qui continue à investir dans des entreprises qui développent de nouveaux projets fossiles.

BNP Paribas aggrave donc le chaos climatique par ses pratiques.

HelloBank

La Société Générale aggrave le chaos climatique !

Avec presque 57,5 milliards de dollars alloués à l'expansion fossile depuis l'Accord de Paris en 2016, la Société Générale est la 7e banque européenne la plus active dans le financement des entreprises qui développent des nouveaux projets d’énergie fossile.

Si la Société Générale refuse de financer directement certains nouveaux projets de charbon, pétrole et gaz, elle continue de soutenir les entreprises qui les développent. Elle soutient encore directement le développement de certains terminaux méthaniers.

Ainsi, alors qu'elle s'est engagée en 2021 à atteindre la neutralité carbone d‘ici 2050, elle continue depuis à soutenir des entreprises comme Eni, EXXON, Chevron mais aussi TotalEnergies. Pourtant, TotalEnergies est une des entreprises à prévoir le plus de nouvelles “bombes climatiques”, notamment au Mozambique où Société Générale a aidé TotalEnergies à collecter les financements pour le projet Mozambique LNG, dont les impacts climatiques et humains sont catastrophiques. Elle est par ailleurs la seule banque française à avoir participé à la levée de 3 milliards de dollars par TotalEnergies sur le marché obligataire en septembre 2024.

Société Générale aggrave donc le chaos climatique par ses pratiques.

Soge

BoursoBank aggrave le chaos climatique !

BoursoBank est une filiale de la Société Générale.

La banque, qui dispose de son propre agrément bancaire, ne finance pas directement des projets ou des entreprises, et ne propose que des financements aux particuliers. BoursoBank ne finance donc pas directement l’expansion des énergies fossiles grâce à l’argent déposé par ses clients sur leurs comptes courants.

En revanche, BoursoBank est une filiale à 100% de la Société Générale qui est par conséquent le décisionnaire final de l’utilisation de ses fonds.

Or, avec presque 57,5 milliards de dollars alloués à l'expansion fossile depuis l'Accord de Paris en 2016, la Société Générale est la 7e banque européenne la plus active dans le financement des entreprises qui développent des nouveaux projets d’énergie fossile.

Si la Société Générale refuse de financer directement certains nouveaux projets de charbon, pétrole et gaz, elle continue de soutenir les entreprises qui les développent. Elle soutient encore directement le développement de certains terminaux méthaniers.

Ainsi, alors qu'elle s'est engagée en 2021 à atteindre la neutralité carbone d‘ici 2050, elle continue depuis à soutenir des entreprises comme Eni, EXXON, Chevron mais aussi TotalEnergies, dont la Société Générale est le premier soutien financier. Pourtant, la TotalEnergies est une des entreprises à prévoir le plus de nouvelles “bombes climatiques”, dont le projet Mozambique LNG dont les impacts climatiques et humains sont catastrophiques. Elle est d'ailleurs la seule banque française à avoir participé à la levée de 3 milliards de dollars par TotalEnergies sur le marché obligataire en septembre 2024.

Société Générale aggrave donc le chaos climatique par ses pratiques.

Bourso

Crédit Agricole aggrave le chaos climatique !

Avec plus de 53 milliards de dollars alloués à l'expansion fossile depuis l'Accord de Paris en 2016, Crédit Agricole est la 6e banque européenne la plus active dans le financement des entreprises qui développent des nouveaux projets d’énergie fossile.

Si Crédit Agricole refuse de financer directement certains nouveaux projets de charbon, pétrole et gaz, elle continue de soutenir les entreprises qui les développent. Elle soutient encore directement le développement de terminaux méthaniers.

Ainsi, alors qu'elle s'est engagée en 2021 à atteindre la neutralité carbone d‘ici 2050, elle continue depuis à soutenir des entreprises comme Eni, Saudi Aramco, BP mais aussi TotalEnergies, dont le Crédit Agricole est le deuxième banquier. Pourtant, TotalEnergies est une des entreprises à prévoir le plus de nouvelles “bombes climatiques”. Parmi ces projets se trouve le projet gazier Papua LNG en Papouasie Nouvelle Guinée, pays déjà en première ligne face au réchauffement climatique. Crédit Agricole est le conseiller financier de TotalEnergies pour ce projet, c'est à dire que la banque aide l'entreprise à obtenir les financements nécessaires au projet.

Pour ses produits d'épargne, le groupe Crédit Agricole s'appuie sur sa filiale d'investissement, Amundi, qui continue à investir dans des entreprises qui développent de nouveaux projets fossiles.

Le Crédit Agricole aggrave donc le chaos climatique par ses pratiques.

CA

B For Bank aggrave le chaos climatique !

B for Bank est une filiale du Crédit Agricole.

La banque ne finance pas directement des projets ou des entreprises, et ne propose que des financements aux particuliers. B for Bank ne finance donc pas directement les énergies fossiles.

En revanche, B for Bank est une filiale du groupe Crédit Agricole qui est par conséquent le décisionnaire final de l’utilisation de ses fonds.

Or, avec plus de 53 milliards de dollars alloués à l'expansion fossile depuis l'Accord de Paris en 2016, Crédit Agricole est la 6e banque européenne la plus active dans le financement des entreprises qui développent des nouveaux projets d’énergie fossile.

Si Crédit Agricole refuse de financer directement certains nouveaux projets de charbon, pétrole et gaz, elle continue de soutenir les entreprises qui les développent. Elle soutient encore directement le développement de terminaux méthaniers.

Ainsi, alors qu'elle s'est engagée en 2021 à atteindre la neutralité carbone d‘ici 2050, elle continue depuis à soutenir des entreprises comme Eni, Saudi Aramco, BP mais aussi TotalEnergies, dont le Crédit Agricole est le deuxième banquier. Pourtant, TotalEnergies est une des entreprises à prévoir le plus de nouvelles “bombes climatiques”. Parmi ces projets se trouve le projet gazier Papua LNG en Papouasie Nouvelle Guinée, pays déjà en première ligne face au réchauffement climatique. Crédit Agricole est le conseiller financier de TotalEnergies pour ce projet, c'est à dire que la banque aide l'entreprise à obtenir les financements nécessaires au projet.

Pour ses produits d'épargne, le groupe Crédit Agricole s'appuie sur sa filiale d'investissement, Amundi, qui continue à investir dans des entreprises qui développent de nouveaux projets fossiles.

B For Bank aggrave donc le chaos climatique par ses pratiques.

B4BANK

LCL aggrave le chaos climatique !

LCL est une filiale du Crédit Agricole.

Elle dispose de son propre agrément bancaire et finance directement des projets et des entreprises - essentiellement de petite et de moyenne taille. Sa politique en matière de pétrole et de gaz est équivalente à celle du groupe Crédit Agricole.

Avec plus de 53 milliards de dollars alloués à l'expansion fossile depuis l'Accord de Paris en 2016, Crédit Agricole est la 6e banque européenne la plus active dans le financement des entreprises qui développent des nouveaux projets d’énergie fossile.

Si Crédit Agricole refuse de financer directement certains nouveaux projets de charbon, pétrole et gaz, elle continue de soutenir les entreprises qui les développent. Elle soutient encore directement le développement de terminaux méthaniers.

Ainsi, alors qu'elle s'est engagée en 2021 à atteindre la neutralité carbone d‘ici 2050, elle continue depuis à soutenir des entreprises comme Eni, Saudi Aramco, BP mais aussi TotalEnergies, dont le Crédit Agricole est le deuxième banquier. Pourtant, TotalEnergies est une des entreprises à prévoir le plus de nouvelles “bombes climatiques”. Parmi ces projets se trouve le projet gazier Papua LNG en Papouasie Nouvelle Guinée, pays déjà en première ligne face au réchauffement climatique. Crédit Agricole est le conseiller financier de TotalEnergies pour ce projet, c'est à dire que la banque aide l'entreprise à obtenir les financements nécessaires au projet.

Pour ses produits d'épargne, le groupe Crédit Agricole s'appuie sur sa filiale d'investissement, Amundi, qui continue à investir dans des entreprises qui développent de nouveaux projets fossiles.

LCL aggrave donc le chaos climatique par ses pratiques.

LCL

BPCE aggrave le chaos climatique !

Avec 25,5 milliards de dollars alloués à l'expansion fossile depuis l'Accord de Paris en 2016, Natixis, la banque d'affaire du groupe Banque Populaire & Caisse d'Epargne, est la 4e banque française la plus active dans le financement des entreprises qui développent des nouveaux projets d’énergie fossile.

Si Natixis refuse de financer directement certains nouveaux projets de charbon et pétrole, elle continue de soutenir les entreprises qui les développent. Elle soutient encore directement le développement de projets gaziers.

Ainsi, alors qu'elle s'est engagée en 2021 à atteindre la neutralité carbone d‘ici 2050, elle continue depuis à soutenir des entreprises comme TotalEnergies, impliquée dans de nombreuses “bombes climatiques”. Elle est d'ailleurs la seule banque française à avoir participé à la levée de 4,25 milliards de dollars par TotalEnergies sur le marché obligataire en avril 2024.

Pour ses produits d'épargne, le groupe BPCE s'appuie sur l'investisseur du groupe, Natixis Investment Manager, qui continue à investir dans des entreprises qui développent de nouveaux projets fossiles.

Le groupe BPCE aggrave donc le chaos climatique par ses pratiques.

BPCE

Crédit Mutuel n'en fait pas assez pour le climat .

Avec un peu plus d'1 milliards de dollars alloués à l'expansion fossile depuis l'Accord de Paris en 2016, le Crédit Mutuel est moins actif que ses pairs dans ce secteur.

La banque s’est engagée à atteindre la neutralité carbone d’ici 2050 suivant une trajectoire limitant le réchauffement à 1.5°C. Dans ce cadre, elle s’engage à ne plus financer directement les nouveaux projets de production et de transport de pétrole et de gaz.

Néanmois, elle se laisse la possibilité de continuer à financer les entreprises qui développent des nouveaux projets pétroliers et gaziers, comme TotalEnergies, qui est pourtant une des entreprises à prévoir le plus de nouvelles “bombes climatiques”.

Pour ses produits d'épargne, le groupe Crédit Mutuel s'appuie sur sa filiale d'investissement, Crédit Mutuel Asset Management, qui continue à investir dans des entreprises qui développent de nouveaux projets fossiles.

Crédit Mutuel n'en fait donc pas assez pour le climat, et doit se renforcer.

CMUT

CIC n'en fait pas assez pour le climat .

Avec un peu plus d'1 milliards de dollars alloués à l'expansion fossile depuis l'Accord de Paris en 2016, le Crédit Mutuel est moins actif que ses pairs dans ce secteur.

La banque s’est engagée à atteindre la neutralité carbone d’ici 2050 suivant une trajectoire limitant le réchauffement à 1.5°C. Dans ce cadre, elle s’engage à ne plus financer directement les nouveaux projets de production et de transport de pétrole et de gaz.

Néanmois, elle se laisse la possibilité de continuer à financer les entreprises qui développent des nouveaux projets pétroliers et gaziers, comme TotalEnergies, qui est pourtant une des entreprises à prévoir le plus de nouvelles “bombes climatiques”.

Pour ses produits d'épargne, le groupe Crédit Mutuel s'appuie sur sa filiale d'investissement, Crédit Mutuel Asset Management, qui continue à investir dans des entreprises qui développent de nouveaux projets fossiles.

Crédit Mutuel n'en fait donc pas assez pour le climat, et doit se renforcer.

CIC

Mona Banq n'en fait pas assez pour le climat .

Mona Banq est une banque membre de l’alliance Crédit Mutuel.  

La banque, qui dispose de son propre agrément bancaire, ne finance pas directement des projets ou des entreprises, et ne propose que des financements aux particuliers. Mona Banq ne finance donc pas directement les énergies fossiles grâce à l’argent déposé par ses clients sur leurs comptes courants. 

Mona Banq est membre de l’alliance Crédit Mutuel, qui doit encore s’engager à ne plus accorder de financement à des entreprises qui développent de nouveaux projets de pétrole et de gaz (voir Crédit Mutuel).

MonaBanq

Sumeria n'en fait pas assez pour le climat.

Sumeria (anciennement Lydia) est qualifiée de “néobanque” - elle n’est pas encore une banque au sens règlementaire du terme – et place les dépôts de ses clients auprès de la banque française BNP Paribas.

Ces dépôts, dits “cantonnés” sont déposés sur un compte auprès de la BNP Paribas. Ils ne sont donc pas directement alloués aux énergies fossiles, mais ils permettent cependant à BNP Paribas d’augmenter sa capacité de financement, et donc d’octroyer plus de crédits.

Or, plus de 87 milliards de dollars alloués à l'expansion des énergies fossiles depuis d'Accord de Paris en 2016, BNP Paribas est la 4e banque européenne la plus active dans le financement des entreprises qui développent des nouveaux projets d’énergie fossile.

Pour prétendre devenir une alternative sérieuse aux grandes banques traditionnelles, Sumeria doit impérativement trouver un partenaire alternatif à BNP Paribas.

sumeria

OnlyOne n'en fait pas assez pour le climat .

OnlyOne est qualifiée de “néobanque” - elle n’est pas encore une banque au sens règlementaire du terme - et s’appuie sur un partenaire, Treezor.

Treezor est ce que l’on appelle un établissement de monnaie électronique. Dans son accord avecOnlyOne, Treezor flèche dépose l’intégralité des fonds de ses clients dans un compte dit “de cantonnement” chez la Société Générale.

Concrètement, la banque ne peut pas directement investir ces fonds, mais ces derniers lui permettent d’augmenter sa capacité de financement, et donc d’octroyer plus de crédits.

Or, avec presque 57,5 milliards de dollars alloués à l'expansion fossile depuis l'Accord de Paris en 2016, la Société Générale est la 7e banque européenne la plus active dans le financement des entreprises qui développent des nouveaux projets d’énergie fossile.

Pour prétendre devenir une alternative sérieuse aux grandes banques traditionnelles OnlyOne doit impérativement s’adosser à un partenaire alternatif à la Société Générale.

Onlyone

Le Crédit Coopératif agit pour le climat !

Le Crédit Coopératif est une banque française coopérative. Avec des activités reposant avant tout sur la banque de détail, qui finance majoritairement les particuliers, les acteurs de l'Économie Sociale et Solidaire, les collectivités et les petites et moyennes entreprises plutôt que les multinationales. Le Crédit Coopératif est moins exposé que ses pairs aux énergies fossiles.

Pour aller plus loin, la banque a adopté une politique d’exclusion stricte des énergies fossiles (charbon, pétrole et gaz) de ses financements, ce qui la distingue nettement des principales banques françaises qui continuent à soutenir ce secteur.

Bien qu’appartenant au groupe BPCE, celui-ci n’intervient pas sur les politiques sectorielles d’exclusions de financement du Crédit Coopératif. Une exception est faite pour les produits d'assurance-vie mis à disposition par BPCE pour lesquels la politique de Crédit Coopératif ne s'applique pas.

Le Crédit Coopératif dispose également de sa propre filiale de gestion d’actifs Ecofi qui exclut de ses actifs tout soutien au charbon et aux entreprises actives dans les hydrocarbures non-conventionnels.

Vous êtes client.e chez Crédit Coopératif, demandez-lui de renforcer sa politique en l’appliquant à son assurance vie !

CredCoop

La Banque Postale agit pour le climat !

Avec des activités reposant avant tout sur la banque de détail, qui finance majoritairement les particuliers, collectivités et petites entreprises plutôt que les multinationales, La Banque Postale est moins exposée que ses pairs aux énergies fossiles.

La Banque Postale a apporté 724 millions de dollars à l'expansion fossile depuis l'Accord de Paris en 2016. Cedendant, elle a depuis pris en 2021 et 2022 de forts engagements climatiques pour soutenir une sortie du secteur d’ici 2030. La banque exclut donc de ses soutiens les entreprises développant des projets de pétrole et de gaz sur l’ensemble de la chaîne de valeurs.

Pour ses produits d'épargne, la Banque Postale s'appuie sur sa filiale d'investissement, La Banque Postale Asset Management qui continue à investir au cas par cas dans des entreprises développant de nouvelles capacités de pétrole et de gaz.

Vous êtes client.e de La Banque Postale, demandez-lui d’aligner la politique de son gestionnaire d’actif LBPAM sur celle de la banque !

BP

Ma French Bank agit pour le climat !

Ma French Bank est la banque 100% en ligne du groupe La Banque Postale.  

Avec des activités reposant avant tout sur la banque de détail, qui finance majoritairement les particuliers, collectivités et petites entreprises plutôt que les multinationales, La Banque Postale est moins exposée que ses pairs aux énergies fossiles.

Bien que La Banque Postale ait apporté un peu plus de 440 millions de dollars de financement aux énergies fossiles (charbon, pétrole et gaz) depuis l’Accord de Paris, elle a de plus pris en 2021 et 2022 de forts engagements climatiques pour soutenir une sortie du secteur d’ici 2030. La banque exclut dès maintenant de ses soutiens les entreprises développant des projets de pétrole et de gaz sur l’ensemble de la chaîne de valeurs.

En particulier pour ses produits d’épargne, la Banque Postale s’appuie sur sa filiale LBPAM. LBPAM a annoncé vouloir aligner en 2030 ses actifs avec l’objectif de neutralité carbone à horizon 2050 en mettant la fin de l’expansion pétro-gazière au centre de son dialogue avec les entreprises. Le gestionnaire d’actifs est cependant beaucoup moins ambitieux que la banque, en se laissant la possibilité d’investir au cas par cas dans des entreprises développant de nouvelles capacités de pétrole et de gaz.

Vous êtes client.e de La Banque Postale, demandez-lui d’aligner la politique de son gestionnaire d’actif LBPAM sur celle de la banque !

MFB

Helios agit pour le climat !

Helios est qualifiée de “néobanque” - elle n’est pas encore une banque au sens règlementaire du terme - et s’appuie sur un partenaire, Okali.

Okali est ce que l’on appelle un établissement de monnaie électronique. Dans son accord avec Helios, Okali flèche une partie des dépôts des clients (40%) vers des obligations vertes, sélectionnées par Helios, pour financer des projets qui contribuent à accélérer la transition énergétique. Okali dépose l’autre partie des fonds (60%) dans un compte dit “de cantonnement” chez Crédit Mutuel Arkéa. Concrètement, la banque ne peut pas directement investir ces fonds, mais ces derniers lui permettent d’augmenter sa capacité de financement, et donc d’octroyer plus de crédits.

Crédit Mutuel Arkea s’engage à ne pas financer les projets de production (exploration et extraction), de transport, de stockage ou de transformation d'énergies fossiles, les projets de centrales à charbon ainsi que les entreprises qui les développent.

Helios contribue donc à construire un modèle bancaire plus durable, en confiant une partie de ses fonds à une banque qui ne soutient pas l'expansion fossile, et en fléchant l'autre partie vers des produits qui accélèrent la transition.

helios

Green-Got agit pour le climat !

Green-Got est qualifiée de “néobanque” - elle n’est pas encore une banque au sens règlementaire du terme - et s’appuie sur un partenaire, PPS.

PPS est ce que l’on appelle un établissement de monnaie électronique. Dans son accord avec Green-Got, PPS dépose l’intégralité des fonds de ses clients dans un compte dit “de cantonnement” chez Crédit Mutuel Arkéa.

Concrètement, la banque ne peut pas directement investir ces fonds, mais ces derniers lui permettent d’augmenter sa capacité de financement, et donc d’octroyer plus de crédits.

Crédit Mutuel Arkea s’engage à ne pas financer les projets de production (exploration et extraction), de transport, de stockage ou de transformation d'énergies fossiles, les projets de centrales à charbon ainsi que les entreprises qui les développent.

En ayant fait le choix du Crédit Mutuel Arkéa, Green-Got s'assure donc de ne pas soutenir l'expansion fossile.

GG

Le groupe Crédit Mutuel Arkéa agit pour le climat !

Avec des activités reposant avant tout sur la banque de détail, qui finance majoritairement les particuliers, collectivités et petites entreprises plutôt que les multinationales, le Crédit Mutuel Arkéa est moins exposé que ses pairs aux énergies fossiles et a pris des engagements forts.

Malgré son affiliation à l'ensemble Crédit Mutuel, la banque applique ses propres choix en matière de financement et d’investissement. La Banque exclut de ses soutiens les projets de production (exploration et extraction), de transport, de stockage ou de transformation d'énergies fossiles, les projets de centrales à charbon ainsi que les entreprises qui les développent.

Par ailleurs, l’activité gestion d’actifs du Crédit Mutuel Arkéa suit des règles différentes, et exclut uniquement les entreprises très actives dans les pétrole et gaz non conventionnels.

Vous êtes client.e de Crédit Mutuel Arkéa, demandez-lui de compléter sa politique par une exclusion plus complète des développeurs (centrales à gaz), et d’aligner la politique de son gestionnaire d’actifs sur celle de la banque !

arkea

Fortunéo Banque agit pour le climat.

Fortuneo Banque est la marque commerciale d’Arkéa Direct Bank, entité du groupe Crédit Mutuel Arkéa.    

Avec des activités reposant avant tout sur la banque de détail, qui finance majoritairement les particuliers, collectivités et petites entreprises plutôt que les multinationales, le Crédit Mutuel Arkéa est moins exposé que ses pairs aux énergies fossiles et a pris des engagements forts.

Malgré son affiliation à l'ensemble Crédit Mutuel, la banque applique ses propres choix en matière de financement et d’investissement. La Banque exclut de ses soutiens les projets de production (exploration et extraction), de transport, de stockage ou de transformation d'énergies fossiles, les projets de centrales à charbon ainsi que les entreprises qui les développent.

Par ailleurs, l’activité gestion d’actifs du Crédit Mutuel Arkéa suit des règles différentes, et exclut uniquement les entreprises très actives dans les pétrole et gaz non conventionnels.

Vous êtes client.e de Crédit Mutuel Arkéa, demandez-lui de compléter sa politique par une exclusion plus complète des développeurs (centrales à gaz), et d’aligner la politique de son gestionnaire d’actifs sur celle de la banque !

fortuneo

étape 2

Alternatives responsables

Vous ne voulez plus confier votre argent à une banque qui persiste à soutenir le développement des énergies fossiles au lieu de se tourner vers les énergies soutenables ? Vous pouvez changer de banque.

En effet, des alternatives sortent du lot et offrent des garanties crédibles sur leur volonté de répondre à l’urgence climatique.

étape 3

Passer à l’action

Je reprends le contrôle sur mon argent en interpellant mon banquier.

Vous êtes étudiant.es ? Rejoignez la campagne des Amis de la Terre « Stop Banques Polluantes »

Epargnez pour le climat !

Les banques proposent aussi des produits d’épargne, dont la gestion a un impact encore plus important sur le climat : l’argent épargné peut être directement investi dans des entreprises et des projets fossiles. Vous souhaitez découvrir l’impact de votre épargne ?